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 Greves en tout genre

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blinkoff
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MessageSujet: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyJeu 18 Oct - 12:53

Citation :

Le secteur public à la française, des grèves mais aussi des dividendes
Si les journées de grève ont baissé de 50% en dix ans, elles persistent dans le secteur public. Mais on oublie que les entreprises publiques se portent bien, qui viennent de distribuer 4 milliards d'euros à l'Etat.


Le secteur public à la française, des grèves mais aussi des dividendes
Les grèves des transports publics sont de celles que l'on subit et que l'on voit : les médias vont nous abreuver de ces cohortes de bons travailleurs qui voudraient bien travailler, mais qui en sont empêchés par les nantis qui veulent défendre leurs privilèges. La France est un pays peu syndiqué, mais où les grèves sont relativement plus importantes qu'ailleurs, notamment dans les pays très syndiqués comme la Suède, le Danemark ou les pays-bas. D'autres pays, comme l'Espagne font autant grève que la France. L'Angleterre aussi. L'Italie un peu plus. La France n'est donc pas un pays de paresseux, Les très sérieuse et officielle Agence française pour les investissements internationaux situe la France dans la « moyenne basse », en termes de jours de grève, par rapport aux économies comparables. Le nombre de journées non travaillées a diminué de plus de 50% depuis 1996. Mais la France est un pays où le secteur public est encore bien défendu, de sorte que les grèves du secteur public sont devenus plus importantes, en termes de jours sans travail, que celles du privé.

Le privé ne fait plus grève. Pourquoi ? Parce que les gens sont de plus en plus heureux ! avait dit un jour un homme plein d'humour, Monsieur Denis Gautier Sauvagnac, à l'émission Ripostes. Non. Il est probable que l'on a de moins en moins le courage de faire grève, chômage et relations de compétitions avec les autres salariés obligent. Voilà pourquoi on parle de grève « par procuration grâce au secteur public ». C'était le grand motif des grèves de 1995, extrêmement populaires, les gens disant, nous on ne peut pas faire grève, on n'est pas protégés, mais vous qui l'êtes d'une certaine manière vous nous protégez. Dans la grève du secteur public, où les consommateurs sont « otages » entre guillemets, il y a aussi du combat par procuration. Le problème de la grève est qu'elle pénalise les non grévistes, mais profite aussi aux non grévistes, car si les grévistes obtiennent certains avantages, ils seront étendus aux non grévistes.

Et, en plus, on ne peut pas accuser les grèves de torpiller les entreprises publiques... Car en ce moment elles vont très bien. Elles vont même distribuer près 4 milliards d'euros à l'Etat propriétaire, à vous et à moi. Certaines ont le vent en poupe, comme la SNCF, qui devrait enfin voir son rôle accru en terme de transport de voyageurs et de frêt. Ajoutons, que la fameuse loi sur le service minimum, qui prendra effet en janvier 2008, n'implique aucun service minimum, mais une obligation de négocier calquée sur le modèle SNCF. Non : le seul reproche que l'on peut faire à cette grève est qu'elle est plus politique qu'économique. Mais si vous pouvez me tracer la frontière entre l'économie et la politique, je vous donne un crayon.


Dernière édition par le Mar 23 Oct - 22:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyJeu 18 Oct - 15:36

Citation :
PARIS (Reuters) - Près des trois quarts des salariés de la SNCF étaient en grève jeudi à la mi-journée, selon des chiffres communiqués par la direction de l'entreprise publique.

"Le taux de participation au mouvement social de ce jour, jeudi 18 octobre, s'établit à 11 h00 à 73,5%", indique la SNCF dans un communiqué.

La compagnie précise que près 90% des conducteurs sont en grève. "Ces agents déterminent le dimensionnement de l'offre de transport", souligne-t-elle.

"Ce taux de participation n'est pas une estimation, mais le décompte réel à partir des prises de service, toutes les entités de l'entreprise fournissant leurs résultats", précise la SNCF
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyJeu 18 Oct - 15:38

Bien joué Sarko qui annonce son divorse le jour de la greve (alors qu'on le sait depuis des lustres) ca va tourner en boucle aux differents 20heures ce truc

Greves en tout genre Sarkodans ton cul la greve
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyMar 23 Oct - 22:41

internes en greve ;

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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyVen 9 Nov - 2:38

Citation :
PARIS (Reuters) - Des officiers de police ont déposé leurs armes et leurs téléphones portables jeudi sur les bureaux de leurs supérieurs, pour protester contre une réforme de leur statut qui les empêcherait d'être rémunérés pour les heures supplémentaires et les astreintes.

A l'appel du Syndicat national des officiers de police (Snop, majoritaire) et de Synergie-officiers (proche de la droite), les gradés de la brigade financière de Paris se sont par ailleurs rassemblés devant le siège de la brigade, située dans le XIIIe arrondissement.

Les quelque 12.000 officiers de police de France ont tenu d'autres rassemblements similaires, mais non prévus, dans plusieurs villes de province comme Rouen en Toulouse.

Les délégués syndicaux, qui ont été reçus par un représentant de la Direction de l'administration de la police nationale (DAPN), ont exprimé leur déception à la sortie de la réunion.

"L'administration n'a pas pris la mesure de la mobilisation et du malaise", a estimé Bruno Beschizza, secrétaire général de Synergie.

"Les propositions restent insuffisantes. Nous attendons la réponse du politique, sinon le mois de décembre verra une manifestation nationale unitaire des officiers de police", a déclaré de son côté Dominique Achispon, du SNOP. La police n'a pas le droit de grève.

Ce mouvement semble être au moins en partie à l'origine de l'annulation d'une grande réunion de gendarmes et de policiers à la Défense, en présence du président de la République, programmée initialement le 15 novembre. Les autorités expliquent cette annulation par la grève des transports qui commence le 13.

Outre le dépôt des armes et des téléphones, les policiers devaient, à l'appel de Synergie, observer une grève du zèle avec "strict respect des horaires et report systématique des affaires non urgentes".

Au 1er janvier 2008, ils deviendront officiellement cadres après une réforme administrative de leur statut, ce qui les empêcherait selon les syndicats de comptabiliser ou de bénéficier de récupérations pour leurs heures supplémentaires, leurs astreintes, ou les rappels en service.

En échange, disent les syndicats, leur sont proposées des augmentations jugées dérisoires de 17 à 20 euros, suivant le grade.

Ce dossier intervient alors que le règlement des heures supplémentaires accumulées depuis plusieurs années n'est pas soldé. La place Beauvau parle d'un stock de cinq millions d'heures supplémentaires impayées, les syndicats parlent de six à sept millions d'heures.

ps : j ai failli le mettre dans le topic "que fait la police"
greve comme tout le monde maintenant
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyVen 9 Nov - 21:38

c'est bientôt la crise en france !!!
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyVen 16 Nov - 11:39

un pote a Darky Very Happy

Citation :

De la LCR au nouveau parti de Besancenot (2) Avec Basile, de Rail-Rouge
Aiguilleur à la SNCF, Basile milite depuis dix-huit ans à la LCR et depuis dix ans à Sud. La grève, c'est son petit Nöel. Et en formidable vivier pour le parti trotskyste si la CGT négocie trop vite...


Un petit rayon de soleil éclaire le bout de la voie numéro 2, ce jeudi 15 septembre, à la Gare de l'Est. Sur un terre-plein jouxtant les rails, une troupe de cent cinquante cheminots se serre, anorak contre anorak pour lutter contre le froid. « Il y a du monde là, j'ai jamais vu ça… on est deux fois plus nombreux que le 18 octobre », lance Basile aux nouveaux arrivants qui viennent le saluer. Il est un peu plus de 11h00, au milieu du groupe, un leader syndical de la CFDT prend la parole : « Tout le monde est là ? On va commencer ». Mais avant même que l'Assemblée générale ne démarre, la voix forte de Basile Pot s'élève déjà depuis la foule pour réclamer déjà un vote. Motif : « C'est pas parce que l'intersyndicale a décidé que les journalistes n'étaient pas admis dans les AG que ça doit être comme ça. Dans les AG, c'est aux travailleurs de décider ! » Un peu plus loin, Jean-Marc, photographe de Rouge, le magazine de la Ligue communiste révolutionnaire, attend de voir s'il peut rester… Mais Basile doit finalement reculer devant les rappels à l'ordre de Marie-Hélène, déléguée syndical de la CGT. A 38 ans, « militant professionnel » de la LCR depuis 18 ans, aiguilleur à la SNCF et membre du syndicat Sud-Rail depuis dix ans, Basile connaît la musique. Sa grande crainte ce matin : que la grève ne soit pas reconduite. « Il faut qu'on tienne jusqu'au 20 novembre, pour faire un grand mouvement avec les fonctionnaires… S'ils ne veulent pas que la presse reste, j'espère que c'est pas pour voter la reprise du travail en douce », s'inquiète-t-il.

Noël au mois de novembre
Une heure et demie plus tard, débrieffing avec Jean-Marc dans un café près de la gare. Le visage du militant rayonne : « Reconduction à l'unanimité ! Même pas une abstention, rien ! » Des sifflements de train retentissent, c'est la sonnerie du portable de Basile qui l'alerte des textos des « camarades » de la gare de Lyon, de la gare d'Austerlitz, de Bordeaux, Marseille… Son sourire s'élargit, il est midi et demi et le mouvement est reconduit partout en France. Un seul regret : « J'ai pas pu préparer le mouvement à fond : je travaille à mi-temps et c'est surtout quand je suis sur place que je peux sensibiliser les collègues. Mais je dois aussi aller aux AG de la ligue, écrire pour le Rail rouge, le fanzine qu'on distribue dans les cantines de la SNCF, coordonner le mouvement des camarades cheminots sur Internet… » Sans compter sa petite fille d'un an qui est malade, Basile est complètement débordé. Malgré des recrutements depuis deux ans en vue du « nouveau parti » que la LCR compte officialiser en janvier, les cheminots de la ligue ne sont guère plus de 70 dans toute la France. Et à la Gare de l'Est, Basile est tout seul. « En plus, cette gare est super difficile à bouger, maugréé-t-il. Je ne sais pas à quoi ça tient... mais regardez la Gare d'Austerlitz, chez eux c'est une insurrection tous les quinze jours ! »

Petit papa Olivier
Soudain, la sonnerie du téléphone se fait plus forte, les yeux plus pétillants : stop ! Le temps s'arrête : c'est Olivier Besancenot qui appelle. Le leader charismatique vient aux nouvelles : il doit passer sur RTL dans quelques minutes. Basile l'informe brièvement, raccroche, un peu rêveur : « Olivier, c'est notre meilleure vitrine, c'est sûr. Il doit venir dans quelques jours à la Gare, j'espère que ça aidera les sympathisants à franchir le cap et à devenir adhérents de la Ligue. » Car malgré les bonnes nouvelles qui pleuvent, les temps sont durs pour le militant de la LCR. Basile a structuré sa vie en fonction de son « engagement » : il a choisi la SNCF « parce que c'est pratique pour militer », il n'a « pas raté un jour de grève depuis dix ans», il se rend à toutes les réunions de cellule, au stage de formation annuel de la Ligue, paye sa cotisation de 45 euros par mois, son abonnement à Rougei, et il s'est même marié à une militante de la LCR… Mais il sait qu'il ne peut pas demander un pareil investissement à ceux que l'organisation de Besancenot attire. De son propre aveu, son mouvement i[« fait peur aux gens. » « Il y en a une bonne dizaine à la Gare qui lisent Rouge, distribuent des tracts ou payent des souscriptions », mais « le trotskysme a du mal à passer et ils craignent de se faire embrigader, manipuler par le Parti… »

Du régime spécial au Grand Soir ?
Pourtant, Basile rêve de se démultiplier et cette période « historique » de mouvement social est, à cet égard, une aubaine. « On est complètement en phase avec les revendications des cheminots. Pendant l'AG, il y en a un qui a pris la parole parce qu'il ne comprenait pas ce que disait la CGT sur les 37,5 annuités. C'est vrai que c'était pas clair, la CGT s'était lancée dans un charabia sur les compensations… Moi je lui ai répondu, la position de Sud est simple: on défend les régimes spéciaux, un point c'est tout. Tout le monde m'a applaudi ! » En temps de grève dure, ce discours clair et radical passe bien. Et, fort de son argumentaire, Basile parvient même à politiser quelques collègues : « Il y a quelques jours, il ne fallait parler que de la grève. Mais aujourd'hui j'ai proposé à des camarades cheminots d'aller soutenir les mal-logés de la rue de la Banque. Et ça les tente ! » Il en a aussi profité pour en inviter d'autres au meeting de Besancenot, le 22 novembre, à la Mutualité…

Reste à savoir si l'essai peut se transformer, si, à partir de cette bataille matinale pour les régimes spéciaux, certains se sentiront l'envie de se mettre en route pour le grand soir. Au loin, la CGT regarde, un brin agacée, cette petite mouvance Sud-LCR qui s'agite dans les AG et pourrait bien récupérer la mise si les gros syndicats reculent. « On essaye de négocier pour vider la réforme de son contenu. Eux, ils veulent tout politiser », s'agace Gérard Filoche, cégétiste plus proche du PS. Pour le moment, pour les révolutionnaires, c'est l'état de grâce. L'après-midi même, tandis que Le Monde titre : « Les syndicats sont prêts à négocier, mais la base hésite », sur les forums de cheminots les messages décryptent ce qui se joue à ce moment charnière de la grève : « si la CGT appelle à la reprise, les gars vont se barrer chez Sud…»
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyVen 16 Nov - 13:10

alors barrez-vous chez Sud ! vive la LCR !! Greves en tout genre E2
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyMer 21 Nov - 1:38

Petit dico pour rire en temps de grève


Antigrève : citoyens pris en otages utilisant les mêmes méthodes que ses bourreaux : manifs de rue, campagne Internet, micro-trottoirs.

Antivol : 1. outil de privatisation des moyens de transport publics non-grévistes (voir Vélib, Vélov, Vélô). 2. Source inépuisable d'émerveillement pour les journalistes, notamment télé et radio, éblouis par tant de créativité de la part des otages.

Pinces : moyen de déprivatisation des Vélib inventé en octobre 2007 par J.C. Decaux (industriel français né à Beauvais en 1937).

Base : mot carrément gauchiste, voire soixante-huitard ou maoïste. Réapparu des derniers jours lorsque les cheminits-zé-cheminotes, ainsi que les ratpistes ont refusé d'applaudir au baiser sur la bouche qu'ont échangé Bernard Thibault et Nicolas Sarkozy.

Bloqueurs : étudiants interdisant l'entrée de leur université par des moyens plus ou moins conventionnels, au motif que la fac a été déclarée «bloquée» par une AG aux méthodes démocratiques laissant parfois à désirer.

Compensation : Base des négociations de certains syndicats, notamment la CGT, pour que l'allongement de la durée du travail des cheminots n'ampute pas leur pouvoir d'achat lorsqu'ils seront à la retraite.

Décote : Déduction sur la pension si la date de départ à la retraite des bénéficiaires de régimes spéciaux n'est pas celle prévue par la nouvelle loi. Par extension, flou sarkozyste autour de ceux qui en subiront les effets (seuls les nouveaux entrants, à partir de 2010 ou 2012 ?)

Galère : mot ancestral né lors d'une grande grève du siècle passé, surnommée la grève de novembre-décembre 1995.

Otage : (prise d'). En 2007, a supplanté l'usager, même dans la bouche de Ségolène Royal. Nous sommes donc tous des Ingrid Bétancourt, retenus, non par les FARC, mais par la SNCF, la RATP, la CGT, la FSU, et autres acronymes belliqueux. La rançon fixée pour notre libération serait de 37,5 annuités.


Pouvoir d'achat : au XXI° siècle la gauche lutte contre la vie chère tandis que la droite prétend défendre le pouvoir d'achat.

Privilégié : Sous Sarkozy, tout corps de métier qui s'oppose à la suppression des acquis sociaux qui permettrait le remboursement des 15 milliards déboursés en cadeaux fiscaux aux ménages les plus aisés. Ex : cheminots, fonctionnaires, ratpistes, professeurs, internes en médecine, etc.

Procuration : mot très à gauche inventé par le sondeur Stéphane Rozes lors des lointaines grèves de 1995 pour expliquer l'incompréhensible soutien du peuple pris en otages par les grévistes. En 2007, la procuration, elle aussi, est en grève, nous disent les sondeurs.


Usager : (n.m) v. otage

Vélib, Vélov, Vélô : 1. moyen de transport public non-gréviste. En temps de galère, il fait l'objet d'une convoitise aiguë de la part des otages, ainsi que les places qui permettent de le garer. 2. à Paris et Toulouse, outil de monopolisation du marché publicitaire urbain.

http://www.marianne2.fr/Petit-dico-pour-rire-en-temps-de-greve_a81282.html?voir_commentaire=oui&PHPSESSID=f8bd0aec554af1a4fdc3b9c71f424ab4
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyLun 26 Nov - 14:31

je l avais pas lu celui la :

http://www.liberation.fr/actualite/ecrans/291977.FR.php

meme si on le sait deja ...
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyLun 26 Nov - 16:40

et ouai...
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MessageSujet: Re: Greves en tout genre   Greves en tout genre EmptyJeu 6 Déc - 15:39



c'est beau...
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